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Les paradoxes de la coopération : comment rendre le collectif (vraiment) intelligent ?

 

Il ne se passe pas une semaine sans entendre les mots Coopération, Collaboratif, Collectif, Cocréation… Le « CO », dont la racine signifie « avec », est mis à toutes les sauces!

Loin d’être une mode, l’organisation du travail tend de plus au plus au mode « projet ». Notre environnement digital, au travers des réseaux sociaux d’entreprise, nous invite à travailler ensemble.

Pourtant, il existe des limites et des pièges possibles à la coopération. En être conscient peut limiter les dégâts!

Comment repérer les 7 biais qui menacent les équipes pour coopérer?

C’est une question que Joanna Quélen de l’excellent site Moodstep a posé à Patrick Scharnitzky.

Voici la liste qu’il décrit dans le podcast :

  1. la paresse sociale: ou comment la coopération peut démotiver, désengager et déresponsabiliser
  2. l’excès de compétition sociale: ou comment le collectif peut générer des rivalités nuisibles
  3. la polarisation collective: ou comment le collectif peut radicaliser les opinions individuelles
  4. la normalisation: ou comment le collectif peut créer une norme inappropriée mais confortable
  5. le conformisme: ou comment le collectif dicte sa loi aux dissidents isolés
  6. la soumission à l’autorité: ou comment le collectif peut obéir aveuglément
  7. le pouvoir des statuts et des rôles: ou comment le collectif est biaisé par des rôles et des enjeux de pouvoir

Je crois que le biais qui me dérange le plus est le « conformisme » qui empêche toutes prises de risques ou évolution originales des pratiques ! C’est probablement ma partie rebelle qui s’exprime!!!

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2 commentaires sur “Les paradoxes de la coopération : comment rendre le collectif (vraiment) intelligent ?”

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